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Les races humaines ou les types humains (partie 7 sur 7)



Dans les parties précédentes nous avons examiné quelle est la différence entre la race et l’espèce, comment ont évolué les espèces humaines et quelle est l’origine des races humaines actuelles, puis nous avons examiné les arguments de ceux qui nient l’existence des races humaines, ensuite nous avons vu quelle était l’évolution des techniques scientifiques utilisées dans la détermination de l’appartenance raciale. Nous avons également vu que les statisticiens déterminent les corrélations entre divers faits sociologiques et l’appartenance aux groupes raciaux.



PARTIE 7 : L’AVENIR DES RACES HUMAINES




L’avenir des races humaines


Lorsque cette question de l’avenir des races humaines était évoquée au XIXème siècle, les penseurs européens expliquaient que la race blanche dispose de l’avantage que constitue la maîtrise des sciences et des techniques. Les penseurs, se référant au principe du « le mieux adapté s’impose au dépens du moins bien adapté », estimaient que grâce à leur maîtrise des sciences et techniques les Blancs européens finiraient par s’imposer sur les continents où les humains indigènes étaient techniquement moins évolués.

Le texte donné en exemple ci-dessous est extrait du bulletin de la Société d’anthropologie de Paris, publié en 1892 : Volume 3, Numéro 3, p. 664, « Disparités et avenir des races humaines » par M. Zaborowsky.
Disparités et avenir des races humaines - M. Zaborowsky - 1892

Les Blancs européens, en appliquant leurs sciences dans une organisation plus efficiente de leur société (médecine, agriculture, industrie etc.) devaient évincer les autres races. Telles étaient les prévisions des scientifiques qui se référaient à l’expansion des Blancs européens du XVIème au XIXème siècle.

Les événements du XXème siècle ont montré sur quelles hypothèses erronées étaient basées ses prévisions.

Car les scientifiques de la fin du XIXème siècle n’ont pas prévu que ces mêmes « sciences développées par les Blancs européens » allaient bénéficier aux autres races. Par exemple la diffusion en Afrique des moyens d’hygiène et des techniques médicales a à partir du milieu du XXème siècle très fortement réduit la mortalité infantile alors que les taux de fécondité élevés s’y sont maintenus. Il en a résulté, à partir du milieu du XXème siècle, un taux de croissance très élevé de la population africaine. De plus les flux migratoires du XVème au XXème siècle se sont inversés à partir du milieu du XXème siècle : désormais les autres races migrent en masses vers les zones peuplées par les Blancs européens. Et à partir du milieu du XXème siècle les Blancs européens ont fortement réduit leur taux de fécondité.

Ce taux de fécondité est désormais si faible en Europe (en moyenne moins de 1,5 enfant par femme) que non seulement il ne permet pas le renouvellement endogène de la population mais qu’en plus à terme, d’ici 150 à 250 ans, il conduit à la disparition des habitants autochtones. Le Conseil de l’Europe a produit le rapport intitulé « Les tendances en matière de population en Europe et leur sensibilité aux mesures des pouvoirs publics ».
 
Ce qui nous intéresse dans ce document est l’image intitulée « Figure 12 : Diminution de la population en Europe » qui est reproduite ci-dessous :

Parmi les races humaines, les Blancs européens sont actuellement en déclin, même en voie d’extinction, partout sur la planète et pas uniquement en Europe.

Aux États-Unis d’Amérique, les projections du Census Bureau (le service gouvernemental du recensement) montrent que les Blancs deviendront minoritaires aux États-Unis d’Amérique à partir de 2042. Ce déclin de la race blanche est doublement accéléré d’une part par le fait que les autres races sont majoritaires parmi les immigrants et d’autre part parce que les autres races ont un taux de fécondité plus élevé.

La même tendance est observée là où les flux d’immigration sont négligeables. Au Brésil, où les flux d’immigration se sont taris à partir du milieu du XXème siècle, les Blancs représentaient 62 % de la population en 1950 et les Noirs étaient donc largement minoritaires. Parmi les groupes raciaux brésiliens, les Noirs maintiennent le taux de fécondité le plus élevé ce qui explique que depuis de 2008 ils forment désormais la majorité de la population brésilienne et les Blancs sont devenus minoritaires. C’est ce que montrent les recensements effectués par IBGE (Instituto Brasileiro de Geografia e Estatística).

Concernant l’évolution de la démographie et la fécondité des populations, il faut comprendre que la notion de « palier démographique » est une erreur largement répandue. L’erreur est dans le fait que le « palier démographique » est présenté comme une règle générale. Nous avons vu ci-dessus, dans le graphe publié par le Conseil de l’Europe, que les Blancs européens ne sont pas sur un « palier démographique » mais sont sur une courbe descendante que l’on pourrait appeler le « toboggan démographique ». À l’opposé, les pays africains de race noire voient leur population globale croître selon une courbe fortement ascendante que l’on pourrait appeler la « rampe de lancement démographique » : la vitesse de croissance des Noirs africains correspond à un doublement de la population tous les 50 ans environ. C’est la moyenne globale des pays subsahariens. Mais par exemple au Niger, le temps de doublement de la population est même inférieur à 25 ans. La vérité est que la « courbe démographique » est le résultat des convergences entre les mentalités (qui produisent la définition consciente ou inconsciente des objectifs poursuivis), les contraintes environnementales (qui fixent les limites matérielles de ce qui est possible), les capacités organisationnelles (qui permettent ou pas d’atteindre les objectifs dans le cadre des limites matérielles) et les aides extérieures (qui permettent de compenser l’insuffisance des capacités organisationnelles propres). Selon les cas la « courbe démographique » d’une population peut pendant certains intervalles prendre l’allure d’un « pallier » mais elle peut aussi prendre d’autres formes.

La Division de la Population du Secrétariat des Nations Unies réunit les statistiques sur la démographie mondiale et notamment sur les taux de fécondité dans les diverses régions de la planète – le graphique suivant en est la synthèse : 
Certains prétendent que le mondialisme est au niveau de la planète l’étape ultime de l’évolution de l’humanité. Le mondialisme se déroule aux risques de la perte de la diversité et des identités dans un métissage global, métissage culturel et biologique. La diversité des groupes humains – qui est une richesse de l’humanité – risque de disparaître si les flux migratoires de masse, instaurés par les dispositifs politiques mondialistes, se poursuivent à leur rythme actuel. Cependant on constate que le métissage mondialiste qui se déroule sous nos yeux ne sera probablement pas global en ce qui concerne les races : les Noirs notamment se maintiendront en tant que groupe racial majeur.

Le mélange racial ne se produira pas dans toutes les régions de la planète : on constate, c’est un fait, qu’il ne se produit que dans les régions d’immigration de masse. Sur la majorité des territoires de la planète le métissage est minime, marginal, et les groupes raciaux qui y sont présents ne disparaîtront pas dans le métissage.

Le continent Africain n’est pas un territoire qui reçoit de forts flux d’immigration en provenance d’autres continents. C’est au contraire un territoire de forte émigration dirigée quasi exclusivement vers l’Europe. L’Extrême-Orient asiatique est dans le même cas : le territoire chinois est exportateur des flux migratoires, il ne s’y produit pas de mélange avec des forts flux d’immigration qui viendraient s’installer en Chine en provenance d’autres continents. Le Japon est depuis toujours fermé à l’immigration massive. Les populations sur ces territoires sont donc en position de conserver leurs spécificités. L’Europe par contre est un territoire où depuis des décennies les gouvernants ont mis en place les conditions qui favorisent l’immigration forte en provenance d’autres continents.

De sorte qu’en compilant les projections que donnent les démographes (celles qui tiennent compte des fécondités, des migrations transcontinentales en cours et du fait que dans la plupart des États d’Europe aucun moyen efficace n’est mis en place par les gouvernements pour arrêter ces migrations, et du fait que « la courbe démographique » a une forme qui varie selon la population concernée) on obtient la synthèse suivante pour le milieu du XXIIème siècle :
– L’Europe réunira entre 3 % et 6 % de la population mondiale selon que l’on retient les projections minimales ou maximales. Ces chiffres témoignent mieux du déclin européen si on rappelle le fait qu’en 1900 l’Europe rassemblait 25 % de la population mondiale et en 2000 environ 12 % de la population mondiale.
– L’Afrique réunira entre 35 % et 45 % de la population mondiale selon que l’on retient les projections minimales ou maximales.
– L’Europe et les deux Amériques seront des continents peuplés majoritairement de métis et de Noirs alors que les Blancs – ne formant plus qu’entre 0,1 % et 2 % de la population mondiale – subsisteront dans certains îlots régionaux (dans certains pays du centre et de l’est de l’Europe, dans certains États des États-Unis d’Amérique etc.).
– L’Asie d’Extrême-Orient et l’Afrique garderont la même structure raciale qu’actuellement.
– Les Noirs – présents en Afrique, en Europe et dans les deux Amériques – formeront le groupe racial le plus nombreux, et peut-être majoritaire, de la population mondiale.

Le graphe suivant montre l’évolution de la part des Noirs dans la population mondiale.



Les projections démographiques énumérées ci-dessus peuvent étonner les personnes qui découvrent la démographie des races humaines. Il n’est pas nécessaire d’être un spécialiste des questions démographiques pour vérifier la validité de ces projections. Il faut néanmoins tenir compte de la variété des « courbes démographiques ».

Les courbes du tableau « Part des Noirs dans la population mondiale » sont obtenues par des recoupements entre plusieurs projections démographiques publiées par la Division de la Population du Secrétariat des Nations Unies [19]. Le lecteur dubitatif peut aisément vérifier la validité des données globales présentées par ces courbes en faisant des recoupements entre divers documents mis à disposition par la Division de la Population.

Notamment une vérification simple est à la portée de tous : en totalisant à partir des données parcellaires qui sont mises à disposition par la Division de la Population du Secrétariat des Nations Unies sur le site « Populations Estimates and Projections Section ». Les projections par pays qui y sont disponibles sont des estimations moyennes (c’est-à-dire celles qui sont les plus probables, mais par pays les démographes établissent par ailleurs également des projections basses et hautes qu’ils qualifient de peu probables).

À partir des données parcellaires on détermine la part des Noirs dans la population mondiale en tenant compte du fait que les pays d’Afrique Subsaharienne sont de population noire et pour les autres pays en tenant compte de la répartition raciale de la population lorsque le pays est multiracial et que les statistiques sur les races sont disponibles (Brésil, États-Unis d’Amérique etc.). La courbe du « scénario haut » correspond à l’écart que donnent certaines projections démographiques : par exemple les démographes des Nations Unies estiment que dans les pays d’Afrique Subsaharienne le taux de fécondité pourrait baisser moins vite que ce qui a été retenu dans les hypothèses qui ont été utilisées pour élaborer les projections moyennes.



Chaque humain a le droit d’affirmer qu’il appartient à une race



C’est un fait indéniable que sur cette planète il y a différents groupes humains, appartenant à l’espèce Homo Sapiens, répartis selon des zones géographiques et que ces groupes humains sont identifiables statistiquement par des caractéristiques biologiques qui dominent parmi les individus qui forment ces groupes.

Ces groupes humains se sont formés au fil du temps, en ajoutant aux spécificités physiques visibles, ou décelables par examen biologique, qui définissent les races, des spécificités culturelles, qui définissent les ethnies.

L’existence des races humaines – quel que soit le terme par lequel on les désigne – est un fait indéniable, mesurable et observable scientifiquement et statistiquement, comme l’est de façon analogue l’existence des langues littéraires qui ont également leur existence propre, comme les races humaines, malgré les mélanges partiels.

Le processus de mondialisation, imposé par l’idéologie du mondialisme, est nuisible à la sauvegarde de la diversité des groupes humains du point de vue biologique (les races), du point de vue culturel (les ethnies), du point de vue des civilisations (ensemble des aspects culturels et sociaux d’un groupe humain). Le mondialisme détruit ce qui constitue la véritable richesse de l’humanité : le mondialisme conduit à la destruction de la diversité des civilisations et des cultures ainsi qu’à la destruction de la biodiversité de l’espèce humaine.

En fin de compte, le lecteur aura compris : sous la pression de la bienséance du « politiquement correct », il est actuellement en France conseillé dans les discours publics de remplacer le mot « race » par le mot « type » ou par le terme « minorité visible ».

En dehors de ces conventions de langage, il reste néanmoins que les races humaines, les groupes et les sous-groupes raciaux, différenciés d’après les caractéristiques biologiques, quel que soit le nom qu’on donne à ces groupes – « type » ou « race » – existent. En Europe, et en France, des voix commencent à s’élever pour exiger que l’on cesse d’occulter la vérité et que l’on prenne en considération la question de l’évolution de la structure raciale de la société européenne [20].

Les antiracistes réagissent à cela, en voulant éviter que cette question ne devienne d’actualité dans les grands médias, en prétendant qu’évoquer la question des races humaines c’est faire preuve de racisme. Les antiracistes veulent temporiser afin que l’évolution de la structure raciale, telle qu’elle est souhaitée par les mondialistes, puisse se poursuivre dans la discrétion relative, sens prise de conscience des changements fondamentaux qu’elle met en place, sans heurts que l’opposition ouverte à ce processus pourrait générer.

Pour empêcher la prise de conscience de la spécificité raciale des Européens, les antiracistes s’appuient habituellement sur l’idéologie néo-lyssenkiste selon laquelle tous les groupes humains sont biologiquement égaux et selon laquelle les races humaines n’existent pas.

Cependant reconnaissons que les citoyens ont le droit d’exprimer la vérité basée sur les faits établis.

Lors de recensements les Américains ne se privent pas de ce droit lorsqu’ils se déclarent par exemple « White » ou « Native Hawaiian ». C’est un droit de pouvoir constater l’appartenance des individus à divers groupes raciaux et ce droit n’est pas limité aux Américains, il est universel, et chaque Européen peut aussi exprimer son appartenance à une race, et le plus souvent un Européen pourrait affirmer : « je suis un Blanc européen ».

Mis à jour en janvier 2012.


•Notes :

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On constate que l’endoctrinement officiel, qui est constamment appliqué sur la population par des moyens multiples, obtient des résultats notamment par la technique de répétition incessante des idées et des faits que le pouvoir veut favoriser. En parallèle le pouvoir en place cherche, par tous les moyens dont il dispose, à empêcher la propagation des idées qui ne lui conviennent pas.

Tous les citoyens peuvent lutter contre cet endoctrinement officiel en utilisant les circuits qui sont à leur disposition pour propager à leur tour la vérité sur certains faits que le pouvoir en place cherche à masquer.


Renvois :

[19]
La Division de la Population du Secrétariat des Nations Unies publie périodiquement une synthèse sur ses prévisions concernant la démographie mondiale. On pourra par exemple consulter « World Population Prospects The 2010 Revision ».

[20] Lire par exemple l’article « Race et civilisation : la fin de l’hypocrisie ? »
ou l’article « La France qui aime le racisme ».



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