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Les races humaines ou les types humains (partie 1 sur 7)



Doit-on parler de « races humaines » ou de « types humains » ? Les thèmes à propos des Noirs ou des Blancs sont souvent évoqués, concernant par exemple les États-Unis d’Amérique, et depuis quelques années concernant l’Europe, avec des changements rapides que l’on constate dans la répartition des races dans les Amériques, mais aussi désormais en Europe ou en France. Paradoxalement on constate également que certains réagissent avec agressivité quand les médias relaient des propos qui désignent les groupes humains biologiquement typés par le mot « race ». Nous allons exposer ici les principaux arguments autour desquels se déroule la controverse contre ou pour les « races humaines ». 

La vision objective que nous privilégions dans cet article, basée sur les faits, suscitera peut-être chez certains lecteurs des réactions réflexes hostiles plutôt que de les amener à ouvrir les yeux sur les réalités. Certains lecteurs prennent position selon leurs sensibilités idéologiques au lieu de considérer la question des races humaines selon les faits objectivement établis. Chacun est bien-entendu libre d’avoir des convictions quelles qu’elles soient, qu’elles reposent sur des considérations rationnelles ou émotionnelles. Cela est vrai concernant le sujet examiné ici – les races humaines – comme cela est vrai pour tout autre sujet. De sorte que je ne chercherai pas à convaincre qui que se soit qu’il doit accepter les points de vue qui sont exposés dans le présent article. Je souhaite seulement partager avec ceux qui sont à la recherche de la vérité.

Les commentateurs sont donc libres de maintenir contre vents et marées leurs opinions, quelles qu’elles soient, et de montrer par leurs réactions sur ce sujet, comme sur d’autres sujets, que les divergences d’opinion existent, même lorsque sur un sujet donné on tient un discours basé sur les faits et que l’on apporte des preuves irréfutables.

L’article est découpé en sept parties afin de faciliter la lecture :
Partie 1 : les confusions à propos des espèces, des races et du racisme
Partie 2 : la propagation des espèces humaines et des races humaines à travers les continents
Partie 3 : les races humaines et les négationnistes
Partie 4 : l’analyse des gènes humains détermine la lignée et les caractéristiques raciales
Partie 5 : la science constate l’existence des races humaines
Partie 6 : les études comparatives des races humaines et l’approche administrative des races humaines
Partie 7 : l’avenir des races humaines.



PARTIE 1 : LES CONFUSIONS À PROPOS DES ESPÈCES, DES RACES ET DU RACISME




Les races humaines et le racisme


Lorsqu’on écoute les conversations on peut constater qu’actuellement en Europe le mot « race » a principalement deux sens : l’un commun et l’autre scientifique.

Depuis quelques décennies la doctrine scientifique qui domine dans les médias européens réserve le mot « race » au domaine animal pour désigner par exemple des variétés obtenues par la sélection des éleveurs (c’est à dire les races d’animaux domestiques comme les chats persans ou birmans etc.) ou des variétés qui sont apparues indépendamment de l’action de l’homme et qui résultent de l’évolution des groupes d’animaux de même espèce géographiquement séparés.

L’une des raisons qui expliquerait que notamment en France le mot « race » est mis à l’écart pour désigner les types humains semble liée à l’idée que le mot « race » crée une ambiguïté avec le mot « racisme ». Ce n’est pas parce que l’on constate l’existence des races humaines qu’on est raciste. Dans le même ordre d’idées ce n’est pas parce que l’on estime qu’il existe des différences entre les sexes que l’on est sexiste. De même ce n’est pas parce que l’on remarque des différences entre les religions que l’on est ennemi des religions.

Le racisme est l’incitation à la haine contre une race, c’est la manifestation de la volonté de détruire une race. La confusion de la perception des races avec le racisme vient de l’idée qu’une classification des groupes raciaux serait aussi semble-t-il considérée par certains comme une incitation à la haine. Il n’en est rien : faire ces constats des différences entre les races n’incite pas à la haine contre certaines races. Constater que par la taille les Scandinaves sont statistiquement 40 % plus grand que les Pygmées est un constat objectif de différence sur un critère prédéfini, ce n’est pas une affirmation raciste. Si des différences existent entre les groupes raciaux, si ces différences peuvent être objectivement constatées, il doit être permis d’exprimer ces faits. Pour cette raison, afin de pouvoir désigner les variétés des groupes humains tout en évitant les accusations de racisme, de nombreux scientifique qui veulent publier les résultats de leurs travaux sans être agressés par des « antiracistes » ont fini par abandonner le mot « race » et emploient plutôt le mot « type ».

Ainsi la règle de bienséance « politiquement correcte », qui s’est imposée ces dernières années en France et en Europe, voudrait que l’on parle plutôt de « types » que de « races » pour différencier des groupes humains biologiques.

De même, dans un autre domaine, mais dans le même ordre d’idées, cette bienséance « politiquement correcte » a introduit l’expression « les gens du voyage ». Par exemple on peut trouver dans les médias des informations du genre : « le vol des métaux a été commis par un groupe de gens du voyage ». On entendant ce genre d’information on peut se demander : « les gens du voyage sont sans doute des gens qui voyagent sans cesse, donc ce sont peut-être les chauffeurs routiers qui ont commis ce vol, à moins que ce ne soit un groupe d’hôtesses de l’air ? ». Pourquoi en général, et pas uniquement dans le cas des « gens du voyage », on propage des expressions « politiquement correctes » ? Le but visé semble être celui d’introduire délibérément une confusion, de masquer la vérité, afin de rendre confus et donc difficile le débat sur les questions de société. Dans la terminologie administrative française ce terme « les gens du voyage » désigne en réalité ce que l’on nomme habituellement les Tsiganes (terme utilisé partout en Europe), les Gitans ou les Manouches (ces deux derniers termes étant utilisés dans les pays francophones), ou les Roms (terme plus récent), qui sont biologiquement un sous-groupe racial qui malgré les métissages garde les spécificités de ses origines indiennes. Les Tsiganes, que l’on rencontre partout en Europe, ont conservé une langue d’origine indienne et par l’ensemble de leurs spécificités culturelles ils correspondent également à la définition d’une ethnie [1]. En France, avec la confusion introduite par l’expression « les gens du voyage », on constate qu’actuellement dans leurs commentaires des faits divers les médias utilisent souvent les interprétations suivantes : l’expression « les gens du voyage » désigne les Tsiganes français, l’expression « les Roms » désigne les Tsiganes roumains. Retenons que les Tsiganes sont à la fois un sous-groupe racial spécifique, du point de vue biologique, et un groupe ethnique, du point de vue culturel. Nous reviendrons plus loin sur la distinction de notions entre « races » et « ethnies ».



Tous les humains sont-ils des Noirs ?


Certains, voulant nier l’existence d’une branche d’humanité spécifiquement européenne, disent que puisque « les recherches admettent que l’Afrique est le berceau de l’humanité cela signifie que chacun d’entre nous est originellement un Africain ». Ce genre de phrase n’a aucun sens car le fait d’avoir les mêmes origines très lointaines n’efface pas les différences qui existent entre deux groupes. Les Blancs européens ont en effet avec les autres races des ancêtres communs mais c’est une règle générale qui englobe tout ce qui est vivant sur cette planète : si on remonte suffisamment loin dans le temps des ancêtres communs existent avec toute vie qui est originaire de notre planète – singe, chameau, chat, mouche, verre de terre, poisson, pommier, herbe, bactérie – puisque « les recherches admettent » qu’à l’origine de toute vie sur cette planète se trouve un organisme unicellulaire qui est apparu dans les mers.

Il existe plusieurs théories sur l’évolution de l’humanité et sur la formation des diverses branches de l’humanité. D’après la théorie le plus souvent mise en avant, on estime actuellement que l’apparition de l’Homo Sapiens date le plus probablement d’il y a environ 200 000 ans et que les branches de l’espèce l’Homo Sapiens ont commencé a se différencier lorsque il y a environ 60 000 ans les groupes humains ont commencé à migrer à travers les continents et ont évolué, par l’effet des mutations génétiques successives, isolés les uns des autres dans plusieurs régions de la planète. En 60 000 ans, l’évolution a eu le temps de façonner des différences génétiques entre les branches de l’humanité auxquelles on a depuis longtemps donné le nom de « races ».

Aujourd’hui les Noirs africains sont aussi distants des Africains d’il y a 60 000 ans que le sont les Blancs européens. Par une succession de mutations génétiques les Noirs africains ont pendant cette période de 60 000 ans suivi une certaine évolution génétique alors que les Blancs européens ont suivi le chemin d’une autre évolution génétique.



La pression exercée pour effacer la conscience de l’existence des races


La question de la race soulève parfois en France des réactions réflexes très hostiles, de sorte que parfois les tribunaux sont appelés à la rescousse dans le but de punir ceux qui parlent trop fort en public de l’existence des races. Lorsque quelqu’un en France parle des Blancs ou des Noirs, lorsqu’il montre qu’il est conscient des différences raciales, on l’accuse souvent de racisme.

L’enseignement public dans les écoles françaises produit des citoyens qui sont persuadés que les races humaines n’existent pas. Dans d’autres pays du monde l’existence des races est un fait que chacun peut ouvertement constater et que l’on prend en compte à tous les niveaux. Par exemple, aux États-Unis d’Amérique, lorsque le FBI diffuse les fiches de signalement concernant les criminels recherchés, la race de chaque individu est précisée car c’est un élément de différenciation, un élément d’identification [2]. Par contre dans les débats internes en France, préciser la race d’un individu semble gênant. En France on utilise des contorsions, pour éviter de parler des races humaines on invente des termes comme « minorités visibles » sans préciser quelle en est la signification, de sorte que l’on introduit avec ce néologisme maladroit la confusion, car il y a des quantités de minorités qui sont visibles : les handicapés moteurs, les chauves, les nains, les riches tape-à-l’œil, les gros, les barbus etc.


D’ailleurs on peut également poser la question de savoir si en France les Blancs sont une « minorité visible » : la question est légitime puisque les statistiques raciales n’existent pas en France, donc on ne peut pas savoir avec certitude a quel moment les Blancs sont devenus ou deviendront une « minorité visible ».



L’espèce et la race


L’homme s’est d’abord surtout intéressé à catégoriser les animaux d’élevage et les animaux domestiques d’après les critères basés sur l’observation. C’était le premier emploi du mot race.

C’est ensuite la zoologie, qui à partir du XVIIIème siècle a entrepris de classifier les êtres, qui a donné la définition générale, applicable aux animaux, mais qui serait applicable à tous les êtres sexués, de ce qu’est l’espèce et de ce qu’est la race :

– L’espèce définit les êtres vivants naturellement interféconds. L’espèce s’applique donc aux êtres à reproduction sexuée.

– La notion de race s’applique à des individus d’une même espèce mais appartenant à un groupe ayant des caractères biologiques héréditaires bien distinct des autres groupes.

Ces notions s’appliquent aux variétés observées dans la faune en général et pas uniquement concernant les animaux d’élevage. 

À noter que du point de vue de la biologie, un être humain, un membre de l’espèce humaine, est un animal, autrement dit il n’est pas une plante mais fait partie de la faune. De ce fait le terme de race, utilisé pour les animaux en général, est adéquat pour définir biologiquement des populations de l’espèce humaine.

La différenciation de l’espèce en races est le résultat des mutations génétiques. Les mutations génétiques sont fréquentes. Certaines se propagent et se maintiennent, d’autres disparaissent. Lorsqu’un groupe est isolé les mutations se propagent à l’intérieur de ce groupe. C’est par des mutations successives que les groupes isolés les uns des autres s’éloignent de plus en plus les uns des autres du point de vue des caractéristiques biologiques.

À un moment donné les mutations peuvent aboutir à des différences telles que la reproduction fertile entre deux groupes raciaux n’est plus possible : une nouvelle espèce est apparue.

Précisons que la frontière d’infertilité entre espèces n’apparaît pas toujours de façon instantanée mais peut s’installer de façon progressive au fil des mutations. Lorsque, à partir d’ancêtres communs, l’évolution a donnée deux espèces nouvelles qui sont encore assez proches génétiquement, il peut parfois y avoir des descendants fertiles. Lorsque les mutations génétiques successives ont d’avantage éloigné les espèces alors le mélange fertile n’est plus possible, puis aucun mélange n’est plus possible. Par exemple, entre l’espèce « cheval » et l’espèce « âne », le mélange d’âne et de jument donne le mulet stérile mais la mule est parfois féconde. On peut dire que dans ce cas la séparation en deux espèces est encore en cours de déroulement, n’est pas encore parfaite, et qu’elle aboutira lorsque la frontière d’infertilité sera totalement établie.

L’évolution peut être imagée sous la forme d’une plante dont les branches poussent de telle façon que chaque nouvelle branche est légèrement différente de la précédente, à partir de laquelle elle a bourgeonné. Plus les branches sont éloignées par la succession des ramifications, et plus elles sont différentes, à tel point que certaines ne se ressemblent plus du tout comme si elles poussaient sur des plantes différentes. Les branches qui sont proches peuvent être fécondes entre-elles, si elles se touchent elles peuvent même parfois fusionner entièrement en perdant ce qui les distingue, mais à partir d’une certaine distance la fécondation entre les branches n’est plus possible, elles ne peuvent plus fusionner. Sur cette plante, certaines branches, et même des ramifications entières, se fanent parfois, et disparaissent, pour des raisons diverses, alors que d’autres apparaissent et foisonnent, sans cesse.



Les races animales


Nous avons vu qu’initialement le mot race a été en usage parmi les éleveurs concernant les animaux domestiqués.

La définition du mot race, données par la zoologie, s’applique par extension à toute la faune. Les races existent également parmi les animaux sauvages.

De nombreuses races animales existent sans qu’il y ait eu d’intervention humaine : par exemple les ours bruns, les ours grizzlys, les ours polaires (appelés aussi « ours blancs ») etc. L’apparition des races animales est le résultat de l’évolution séparée : certaines mutations se propagent à l’intérieur d’un groupe alors que d’autres mutations se propagent à l’intérieur d’un autre groupe géographiquement séparé. Tant que la succession des mutations, tout en accentuant les particularités, permet l’interfécondité, on est en présence de races. Comme chez les humains, on constate que les races animales sont susceptibles de disparaître par le métissage lorsque les conditions naturelles qui ont permis leur apparition (isolement géographique) ne sont plus réunies.

Ceci dit, par habitude, sans tenir compte de la définition « espèce/race », les ouvrages de zoologie continuent de nommer les espèces animales sauvages là ou on devrait en toute rigueur parler de races animales sauvages. C’est une habitude de langage. Par exemple pour les ours on parle d’espèce « ours grizzly », d’espèce « ours polaire » etc. alors qu’en fait tous ces ours sont interféconds. Si cette mauvaise habitude de langage était appliquée de façon analogue aux humains on dirait que les Noirs sont une espèce humaine et que les Blancs sont une autre espèce humaine – mais c’est bien entendu faux. 

À propos, nous avons pu récemment lire une nouvelle en provenance du Canada : à cause du réchauffement généralisé du climat, les ours grizzlys viennent si loin au nord que les cas de métissage ont déjà été observés entre les ours grizzlys et les ours polaires [3]. Désormais la question se pose de savoir s’il sera possible de maintenir la « pureté raciale » dans les populations d’ours grizzly et d’ours polaires.

L’ours polaire n’est qu’une branche particulière d’ours – si cette race d’ours disparaît, cela ne veut pas dire que de façon générale l’ours disparaîtra de la planète. Cependant – comme cela est expliqué par les défenseurs de la nature et de la biodiversité – il est important que chaque race particulière d’ours survive.

Dans la partie 2 nous examinerons comment ont évolué les espèces humaines et quelle est l’origine des races humaines actuelles.

Suite, partie 2 : la propagation des espèces humaines et des races humaines à travers les continents.

Mis à jour en novembre 2010.


•Notes :


Précision : les lecteurs qui partagent les idées développées dans mes contributions peuvent utiliser les textes de mes articles pour propager ces idées sur d’autres forums, dans d’autres médias ou autour d’eux. Si vous partagez mes opinions alors vous pouvez traduire mes contributions, vous pouvez utiliser mes textes tels quels, vous pouvez les copier entièrement ou en partie, ou vous pouvez les adapter de la manière qui vous convient. Si j’écris c’est pour que les gens lisent, donc plus il y a de lecteurs meilleur c’est. L’important ici est la propagation des informations et des opinions.

Si les idées qui sont exposées dans cet article vous plaisent assez, alors n’hésitez pas : distribuez ce texte autour de vous, aux personnes connues ou inconnues. Chaque personne qui lit ce texte peut en faire des copies et les distribuer à son tour à d’autres lecteurs potentiels.

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On constate que l’endoctrinement officiel, qui est constamment appliqué sur la population par des moyens multiples, obtient des résultats notamment par la technique de répétition incessante des idées et des faits que le pouvoir veut favoriser. En parallèle le pouvoir en place cherche, par tous les moyens dont il dispose, à empêcher la propagation des idées qui ne lui conviennent pas.

Tous les citoyens peuvent lutter contre cet endoctrinement officiel en utilisant les circuits qui sont à leur disposition pour propager à leur tour la vérité sur certains faits que le pouvoir en place cherche à masquer.


Renvois :

[1] En partant du nord de l’Inde les Tsiganes (prononcé [tsigan]) et les Rajputs sont venus en Europe du nord à partir du IXème siècle. Ensemble, ils forment la Romani Cel – le peuple tsigane – d’où leur surnom de « Romanichels », mais ils se nomment eux-mêmes Romané Chavé. La graphie recommandée par l’Académie française est tzigane (avec un [z]) mais les Tsiganes préfèrent écrire ce mot avec un [s] parce qu’il ne correspond pas à la prononciation du mot dans leur langue. En français, le mot Roms au pluriel se prononce sans le -s, ce qui donne [ròm]. Le lecteur trouvera une bonne description de l’identité des Tsiganes dans l’article « Les Tsiganes ».

[2] Les avis de recherche diffusé par le FBI peuvent être consultés sur le site officiel « VIOLENT CRIMES – MURDERS ». La race fait partie des caractéristiques qui permettent d’identifier chaque individu recherché.

[3] À cause du réchauffement généralisé du climat, les ours grizzlys viennent si loin au nord du Canada que les cas de métissage ont déjà été observés entre les ours grizzlys et les ours polaires. Dans l’article « Bear shot in N.W.T. was grizzly-polar hybrid » un scientifique du Arctic Research Center (University of Alaska Fairbanks) estime que le réchauffement du climat, qui réduit progressivement la barrière des glaces polaires et favorise ainsi des contacts entre les races animales, qui en évoluant de façon séparée ont progressivement acquis leurs spécificités biologiques sur une période de plus de 10 000 ans, aura pour conséquence que le métissage – que l’on commence actuellement à observer entre les ours grizzly et polaires – concernera aussi les diverses races de certaine autres espèces animales.




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